Un nouveau retour à la Terre dans la littérature romande ?

© Maria Guta et Lauren Huret

Depuis une dizaine d’années, un tournant écopoétique semble avoir (re)gagné la littérature romande. De Fanny Desarzens à Blaise Hofmann et de Matthieu Ruf à Anne-Sophie Subilia, nombre de jeunes auteuricexs contemporainexs s’évertuent à raconter les enjeux écologiques, souvent en s’inspirant des sciences de la nature. Quels sont les nouveaux imaginaires écologiques qu’iels façonnent aujourd’hui ? Peut-on parler d’une littérature engagée de ce côté-ci du Léman ?

Modération et introduction
Colin Pahlisch, chargé de projet au Centre de compétences en durabilité (CCD) et à l’ORIA – UNIL

Intervenantexs
Fanny Desarzens, Blaise Hofmann, Daniel Maggetti et Anne-Sophie Subilia

En partenariat avec l’Observatoire sur les récits et imaginaires de l’Anthropocène (ORIA) – UNIL