La Grange

Saison 23/24

Édito et présentation de la saison en vidéo

Dans le prolongement des dernières saisons, La Grange vous invite à la rencontre d’artistes et de chercheurexs qui questionnent les représentations, décalent le regard et bousculent les certitudes. Ensemble, iels transmettent – de manière sensible, documentée et généreuse – leurs joies et leurs doutes, mais aussi leur sincère engagement pour leur art ou leur cause.

Cette saison, trois nouvelles créations racontent nos rapports aux histoires et à l’héritage qu’elles charrient : Ludovic Chazaud convoque un conte-type et les modèles amoureux qu’il véhicule (La Belle et la Bête) ; Clara Delorme, Claire Dessimoz et Louis Bonard nous disent de quel héritage se revêtent a priori les spectacles qui se jouent pour nous (Festival) ; Jonas Lambelet enquête sur les liens intergénérationnels à nos grands-parents (Peut-être qu’un jour quelque chose d’inattendu jaillira de ces estomacs).

Nous vous convions également à découvrir cinq artistes qui travaillent tout particulièrement avec des méthodes et concepts scientifiques, et les chercheurexs qui les incarnent : Lenio Kaklea qui chorégraphie la poésie sauvage des forêts (Fauve) ; Sofia Teillet et sa conférence-hit sur la vie des orchidées (De la sexualité des orchidées) ; Le joli collectif – Vincent Collet et leur désir de justice (Justice·s) ; et Amaranta Fontcuberta et Simon Senn qui convoquent sur scène la polymorphie sociale des fourmis alpines (Derborence).

Trois soirées au contenu à la fois scientifique et artistique ponctuent le mois de mars : une exploration des zones de transition entre différents écosystèmes par le collectif MALM (Écotones) ; une conférence inédite sur l’histoire récente de la dramaturgie par Danielle Chaperon (Pour une dramaturgie de l’Anthropocène) ; et la Rencontre Arts/Sciences de La Grange.

On ralentit au mois d’avril avec deux propositions douces et radicales : le Collectif Foulles qui chorégraphie la mollesse et l’accueil de la chute (Le cerveau mou de l’existence) ; puis Alix Eynaudi qui nous convie au repos ((Im)mobility Salon).

Enfin, trois festivals émaillent la programmation du printemps et mettent respectivement en lumière : la diversité des formes de l’improvisation (Festival d’improvisation), la création étudiante sur le campus (Fécule), et la jeune création professionnelle (Les Ravines – 2e édition).

Bienvenue !

Bénédicte Brunet et l’équipe de La Grange

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